Le 24 août, Beijing a officiellement commencé à promouvoir l'indice du «PIB vert» dans ses calculs économiques et à enquêter sur les pertes économiques induites par la pollution.
Il s'agit principalement de frais engagés par les entreprises et les services d'utilité publique, consacrés à la protection et à l'aménagement de l'environnement. De plus, des efforts financiers doivent être engagés pour dépolluer et améliorer la propreté de certains sites tandis que des études doivent être entreprises sur les relations entre la pollution atmosphérique, les ressources en eau et la santé de l'homme ainsi que sur les pertes économiques causées par les dommages industriels.
Les programmes concerneront des indicateurs tels que les volumes d'évacuation et de traitement des contaminations atmosphériques, des eaux usées et des rejets solides. L'enjeu est d'estimer le coût des aménagements écologiques, des pertes agricoles, des matériaux de construction, des conséquences sur les ressources forestières et aquatiques et sur la santé de l'homme induites par la pollution environnementale et par les eaux usées.
CRI
2005/08/26
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